NOUS MENTIRAIT-ON II

1 juin 2012

Les dissidents cubains à Miami Joignent les mains avec la Syrie "opposition"Global Research, 31-5-2012

La CIA est à l'origine de la mise en œuvre d'un dispositif de sabotage du plan Annan et toute tentative de paix en Syrie. Revenant à ses méthodes de guerre froide, où il a créé des groupes subversifs dans le bloc de l'Est pour infiltrer les fronts de combat internationales, la CIA a organisé un séminaire de formation commune à Miami pour les membres de l'opposition cubaine et de la Syrie armé.

En utilisant la communauté cubano-américaine agissant sous leurs auspices à Miami, ainsi que les opposants syriens vivant sur leur territoire, les services de renseignement des États-Unis visent à associer Cuba avec les troubles actuels en Syrie, selon une dépêche de l'agence espagnole EFE. Les nouvelles "révélant" que "les dissidents syriens et cubains de Miami ont créé un front de lutte contre Castro et al-Assad." "La Résistance syrienne et de Cuba a créé un front uni pour la liberté et la démocratie des deux peuples qui luttent contre les régimes dictatoriaux », a rapporté le correspondant de l'agence de Madrid à Miami, considéré comme la base de toutes les parcelles anti-cubains aux États-Unis.

Des représentants de la «principale organisation d'opposition syrienne» et les membres de l'Assemblée dite de la Résistance cubaine (ARC) de Miami, a signé un «accord de coordonner leurs efforts» et donner à Cuba une image d'instabilité."

La Syrie a été pris dans une spirale de la violence depuis le 15 Mars 2011, quand des milliers de personnes sont descendues dans les rues», a ajouté EFE. «Cela offre une occasion extraordinaire: un front uni rapprocher les peuples de la Syrie et Cuba ainsi que de se battre pour la liberté et la démocratie", a déclaré Silvia Iriondo, le «président» des mères et des femmes contre la répression (MAR Por Cuba), dans son entrevue avec le correspondant EFE Miami.

Silvia Iriondo, dont le vrai nom est Silvia Goudie, est la fille d'un mercenaire qui a pris part à la baie des Cochons a échoué. Elle est à Miami, où elle vit de ses mensonges et son "brainchild" MAR Por Cuba, gracieusement financé par l'USAID. Lorsque cubaine 6-ans Elian Gonzalez a été enlevé à ses parents à Miami, cette dame et les membres de son organisation ont déclaré qu'ils préféreraient le voir mourir plutôt que de le retourner dans sa famille à Cuba.

Le Département d'Etat et de ses «filiales» ont l’invariablement employée dans leur «service étranger» à participer à leurs réunions contre Cuba, en Europe et en Amérique latine.

En Mars 2004, Robert Ménard, l'ancien secrétaire général de Reporters sans frontières, et Frank "Paquito" Calzón, officier de la CIA et directeur du Center for a Free Cuba (CFC), est apparu en public avec elle lors d'une réunion avec les députés européens organisés par des amis de l'ancien Premier ministre espagnol Jose Maria Aznar à l'Union européenne.

Robert Ménard est devenu célèbre après avoir reconstitué ses comptes bancaires "cubains" en Virginie avec de l'argent de l'USAID, alors qu'à la CFC, Felipe Sixto, Calzon le bras droit de l'homme, a été arrêté et reconnu coupable d'avoir détourné un demi-million de dollars. En 2007, la Société internationale pour les droits de l'homme - une ouvertement anticommuniste, et a CIA  organisent  un séminaire sur le "problème cubain" au Centre de la Banque des communications Dresde à Francfort,l’ Allemagne – invitée-  est assise et Silvia Iriondo sur le podium à côté de Calzon , Pedro V. Roig (Directeur de l'Office de Cuba sur la radiodiffusion et responsable de l'émission de Radio Martí et TV Martí, qui était alors sous enquête pour fraude), le "commandant traître», Hubert Matos, qui est liée au trafic de drogue, et Angel Serrano Francisco de Fana, un membre d'Alpha 66 (arrêté en Californie en 1995 en possession d'un arsenal d'armes prévue pour être déployée dans une attaque terroriste contre Cuba).

En Novembre 2009, Silvia Iriondo avec le chef de UnoAmérica, une organisation fasciste idéologiquement proche de l'Opération Condor, et Alejandro Peña Esclusa, actuellement en procès à Caracas pour le terrorisme, était parmi le groupe des «observateurs» qui a légitimé les élections générales tenues en vertu de la dictature de Roberto Micheletti au Honduras.

A cette occasion, elle a de nouveau côtoyé Matos et d'autres «figures» de la mafia anti-cubaine, tels que l '«anti-Castro" millionnaire Orlando Gutierrez Boronat qui partage actuellement son entreprise avec «Cuba et la Syrie".

 Un bénéficiaire, comme Mme Iriondo, des injections de dollars généreuses de l'USAID, Gutierrez, secrétaire national de la direction cubaine démocratique s'oignit (Directorio Democrático Cubano), et a même été accusé par certains d'utiliser ses subventions pour voyager autour du monde.

Salué par EFE, une agence de nouvelles fondé par le grand-père franquiste d'Aznar, cet «accord» n'est pas la première tentative d '"associer" à Cuba avec la Syrie, dans lequel Mme Iriondo a été impliqué.

Il ya quelques semaines, cette «activiste» à la solde du Département d'Etat a participé à une séance d'information au Congrès organisé par une association dite de cubano-américains avocats (CABA), centré sur le thème de "Le Printemps arabe à Cuba, "en présence des législateurs mafieux Mario Diaz-Balart, Ileana Ros-Lehtinen et David Rivera.

Parmi les signataires de l '"accord" acclamé par EFE apparaît également Horacio Garcia, Conseil pour la Liberté de Cuba (CTC) et un ancien directeur de la Fondation nationale cubano américaine (FNCA). Il convient de noter que ce monsieur a été publiquement dépeint comme terroriste d'origine cubaine et Luis Posada Carriles comme l'un des principaux bailleurs de fonds " de ses activités criminelles ».

Pour le "côté syrien," EFE Mentions Mohamed Kawam, de la soi-disant Force d'urgence des tâches syrienne, et Niman Choukeiry, affiliée à-Unis pour une Syrie libre - respectivement médecin et le dentiste - qui semblent avoir plus de goût pour l'argent facile que d'exercer leur profession.

Deux activistes syriens basés aux Etats-Unis, dont les positions de droite leur a permis d'être étroitement associée à la propagande du département d'État et de mécanismes de déstabilisation.

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