NOUS MENTIRAIT-ON II

9 aout 2012

Lorsque Blackwater offert à Salva Kiir, le président du Sud Soudan, un programme d'aide militaire, ils ont organisé une livraison spéciale de dix téléphones satellitaires cryptés. Dans une tentative similaire de lier d'amitié avec le roi Abdallah de Jordanie, ils lui ont remis la «version mercenaire d'un panier de fruits: un assortiment de Glock, avec un fusil de chasse Remington et un fusil Bushmaster M4."

Blackwater est une société de sécurité privée, implantée depuis 15 ans en Caroline du Nord , est surtout connu pour un incident lors de ses employés ont abattu 17 civils dans Nissour Square, à Bagdad en Septembre 2007.

La société - qui est maintenant connu sous le nom Academi - a accepté de payer 7,5 millions de dollars au gouvernement des États-Unis pour régler des accusations fédérales de contrebande d'armes et de crimes connexes en se fondant sur ​​les enquêtes sur les incidents, y compris plusieurs du Soudan du Sud et les cas jordaniens. Le "" Deferred Prosecution Agreement "permet à l'entreprise d'éviter d'aller devant les tribunaux sur les 17 chefs d'accusation si elle peut prouver qu'elle a changé ses façons de procéder au cours des 36 prochains mois.

"Cette société a clairement violé les lois des États-Unis en exportant des données sensibles et des services techniques de défense à un hôte non autorisée du pays à travers le monde», dit Brock Nicholson, l'agent spécial en charge de la Sécurité intérieure des États-Unis Atlanta dans l'enquête. "Ce faisant, les employés d'entreprises étaient souvent en possession d'armes à feu illégales et aidés d'autres ressortissants étrangers dans l'acquisition d'armes à feu illégales."

La plupart des incidents, datés de 2005 et 2006 quand la société était à la hauteur de sa renommée , proviennent essentiellement de travail IST en Irak. Le 31 Mars 2004, quatre entrepreneurs de Blackwater ont été tués dans la ville de Falloudja tandis qu'un convoi de ravitaillement les accompagnant livraient de la nourriture pour une base militaire américaine. La société a tiré et l'armée américaine a lancé deux attaques majeures sur la ville.

Presque un an plus tard exactement, en Mars 2005, Blackwater a fait un don d'armes à feu non déclarées au roi de Jordanie.

En fin 2005, les employés de Blackwater s'étaient rendu au Soudan pour offrir à Kiir une variété de services: formation pour le peuple soudanais de l'Armée de libération, la formation de 30 personne en une équipe de garde du corps, d'une équipe de collecte de renseignements humains et de la technologie de surveillance des données, en collaboration avec e-mail sécurisé et des systèmes téléphoniques pour le président et le Cabinet historique.Le Sud-Soudan était encore un Etat du Soudan à l'époque, il le sera encore cinq ans avant qu'elle ne devienne indépendante.

Un e-mail interne de Blackwater demande à son personnel la façon de s'assurer que l'accord reste secret: "Rappelez-vous, l'argent à rendre compte doit venir du gouvernement ougandais, et nous devons avoir une info ougandaise des forces de sécurité de contact [sic] pour obtenir ce fini . "Un ensemble de dix« CryptoPhones "d'une valeur de 18 000 $ ont également été expédiées à Nairobi en Novembre 2005. Un employé de Blackwater en Afrique à renvoyé par courriel: «Les jouets ont été livrés et sont en fonctionnement, maintenant."

Le Sud a été inspiré par le Soudan face une proposition initiale du gouvernement des États-Unis et de Blackwater, qui avait été abandonné par Washington. Mais malgré les événements qui ont fait que le gouvernement des États-Unis ai annulé le projet, Blackwater a continué à la poursuivre.

Et les Soudanais du Sud ont joué long, en fait, ils étaient intéressés par un accord d'événements et plus - la protection d'un important oléoduc. Mais finalement l'idée a été mise au rébus.

Blackwater, cependant, dans son empressement à faire des affaires n'avait pas obtenu la licence du Département d'Etat. La société est dans l'eau chaude également pour une variété de charges, comme l'envoi de plans secrets de transporteurs de troupes blindés pour la Suède et le Danemark avec une formation militaire fournie à la sécurité du gouvernement canadien, sans la licence appropriée des États-Unis.

(Vous pouvez trouver des documents juridiques à la Corporate Crime Reporter détaillée) http://www.corporatecrimereporter.com/news/200/academiblackwaterprosecutiondeferred08072012/

La société a émis une courte déclaration pour reconnaître l'entente avec le gouvernement fédéral. "L'accord, qui ne comporte pas de plaidoyer de culpabilité ou d'admettre à toute violation, témoigne des efforts considérables et tangibles que les nouveaux propriétaires Academi et l'équipe de leadership ont fait," (une déclaration auprès de la société lire).

Certains peuvent noter que la société va avoir des difficulté à prouver qu'elle a modifié les modes d'IST. "Le ministère de la Justice ne peut pas être fait avec Academi / Blackwater encore," écrit Spencer Ackerman dans le magazine Wired. "Deux employés qui travaillaient pour Academi sous gestion actuelle des IST poursuivent en justice la société pour licenciement abusif après avoir sonné l'alarme sur les tentatives qu'un troisième employé faussait les résultats du test d'un pistolet pour les forces de sécurité afghanes."

URL CORPWATCH: http://www.corpwatch.org/article.php?id=15766

http://www.crocodyl.org/wiki/blackwater

Blackwater

L'entreprise en bref:

Blackwater USA est une société militaire privée et une entreprise de sécurité fondée en 1997 par Erik Prince et Al Clark. Elle est basé dans l'état américain de Caroline du Nord, où elle exploite un centre de formation tactique qu'elle prétend qu'il est la plus grande du monde. L'entreprise forme plus de 40.000 personnes par an, de tous les services militaires ainsi qu'une variété d'autres organismes. La société elle-même commercialise comme étant "L'armée la plus complète professionnel, en application de la loi, de la sécurité,du maintien de la paix et la stabilité exploitation de la compagnie dans le monde". Au moins 90% de son chiffre d'affaires provient de contrats gouvernementaux, les deux tiers sont des contrats d'appel d'offres .