Le regard des politiciens US politiciens sur Europe observent avec circonspection que l'austérité fatigue les gouvernements et les évince
Simons Ned rapporte de Londres, Alexandre Phalippou de Paris, et Ryan Grim de Washington.
Lorsque le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke a osé , au Sénat, jeudi dernier pour une réunion à huis-clos, il a trouvé un nerveux démocratique du caucus. Un sénateur mis leur anxiété en mots: Comment devrions-nous être inquiets au sujet de l'Europe?
La question n'était pas simplement au sujet de la traînée sur le produit intérieur brut des États-Unis que le ralentissement sur le continent pourrait avoir. Plus important encore, les démocrates ont été préoccupés par la colère anti-historique dans l'électorat européen, a déclaré un sénateur qui était à la réunion.
Bernanke objecta, en baisse pour entrer dans la politique, mais d'autres sénateurs dans la salle répondu à la question: les électeurs, ont-ils averti, punira les titulaires de la douleur de l'austérité.
"La titularisation en plus d'austérité est égal à la mort politique", MP Jon Trickett, un haut responsable du Parti travailliste avec Ed Miliband, a déclaré à HuffPost. "Il ya un esprit général dans toute l'Europe, et peut-être aux États-Unis, contre l'élite politique."
Le week-end après la réunion, l'équation joue comme prévu, brisant le parti au pouvoir de la chancelière Angela Merkel lors d'une élection état décrit comme un revers dévastateur par les médias allemands.
Un des messages les plus puissants que les politiciens américains ont livrés aux électeurs au cours des dernières années est l'avertissement que la nation sera «devenue la Grèce" si elle ne fait pas baisser sa dette et son déficit. Mais maintenant, les électeurs de la Grèce et dans toute l'Europe sont en train d'envoyer un message d'avertissement qui leur est propre.
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